Char SOMUA S35
<h2>Miniature du char de cavalerie SOMUA S35</h2>
<p>Reproduction du célèbre char de cavalerie "S35 à l'échelle <strong>1:100,</strong> compatible avec les figurines de <strong>15 mm. </strong></p>
<p>Modèle fabriqué en <strong>résine.</strong></p>
<p><strong>2 pièces </strong> (châssis et tourelle).</p>
<p>Apprêté en <strong>jaune foncé.</strong></p>
<p>Dimensions approximatives : Longueur <strong>54 mm</strong></p>
<p> Largeur <strong>19 mm</strong></p>
<p> Hauteur <strong> 26 mm</strong> </p>
<p>Poids approximatif : <strong>14 g</strong></p>
<p>Montage : <strong>Néant</strong> </p>
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<p>Le <strong>S35</strong> est la réponse de la <strong>S</strong>ociété d'<strong>O</strong>utillage <strong>M</strong>écanique et d'<strong>U</strong>sinage d'<strong>A</strong>rtillerie à l'appel d'offre de la cavalerie pour un véhicule appelé <strong>AMC</strong> (automitrailleuse de combat) au début des années 30. </p>
<p>Cette "AMC" est <strong>sans doute le meilleur char Français</strong> au début du conflit. Il équipa les 3 Divisions Légères Mécanisées (<strong>DLM</strong>) à raison de 87 chars par division, le reste des chars étant des H35 ou H39.</p>
<p>La production en série débute en 1935 et environ 400 unités seront produites au jour de l'armistice dont plus de 350 seront réceptionnés aux armées. </p>
<p>Pesant 20 Tonnes, classifié comme char moyen, le "S35" était <strong>rapide</strong>, <strong>correctement blindé</strong> et <strong>bien armé</strong> et pouvait tenir facilement la dragée haute à tous ses opposants.</p>
<p><strong>Son principal défaut</strong>, commun à presque tous les blindés Français de l'époque, réside dans la disposition de sa tourelle.</p>
<p>Le <strong>S35</strong> était doté d'une tourelle APX 1 "CE", à "chemin élargi ", permettant à un deuxième membre d'équipage d'aider au chargement de la pièce de 47 mm.</p>
<p>Même si cette particularité améliorait le rendement par rapport aux tourelles strictement monoplaces, cette disposition était désavantageuse comparée avec celles des <strong>panzer III</strong> et <strong>IV</strong> dont les tourelles sont servies par 3 membres d'équipage.</p>
<p>Comme la plupart des blindés Français de cette époque, le <strong>S35</strong> était doté d’un blindage sérieux (40 mm en caisse , 55 mm en tourelle) et présentait la particularité d'avoir une caisse en acier moulé. L'épaisseur de son blindage et les formes arrondies de sa caisse en faisait un appareil difficile à percer.</p>
<p><strong>Evitez les S35 ! :</strong></p>
<p>Le <strong>S35</strong> était doté du même canon sous tourelle que le <strong>B1bis</strong> : le <strong>47 mm SA35</strong> lui permettant de venir à bout de tous les blindés de l’axe rencontrés.</p>
<p>Lors des combats en Belgique, Les Allemands ordonnèrent à leur blindés de rompre le combat si ils faisaient face à des <strong>S35</strong>... l'os était trop dur à ronger ... </p>
<p>Si vous jouez la <strong>DLM</strong>, une des plus puissantes formation existant au début du conflit , vous devez aligner cet appareil !</p>
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